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Golden Sheep : un bon seinen slice-of-life

C’est l’hiver… et il fait froid ! Alors quoi de mieux pour nous réchauffer qu’un bon manga accompagné d’un chocolat chaud (et puis même d’une petite collation car on est des gourmands ici). Aujourd’hui, on va parler d’un seinen qui m’a beaucoup touché dernièrement : Golden Sheep.


Golden Sheep tome 1 - © Kaori Ozaki

Ovni que j’ai trouvé dans le rayon manga de la librairie de ma petite ville, il m’a chaudement été recommandé par la vendeuse présente ce jour-là et l’argument convaincant : c’est qu’il ne fait que trois tomes. Donc rapide à lire et ça, quand tu n’as pas trop le temps de te lancer dans une longue série, c’est parfait.


J’ai donc dévoré ces trois tomes en l’espace de deux jours et j’ai été agréablement surprise, déjà parce qu’il est rare que j’apprécie quelque chose qu’on me recommande, mais surtout parce que c’était GÉ-NI-AL.


Petit rappel : le seinen, grosso-modo, est un manga principalement destiné à un public composé de jeunes adultes masculins. Genre opposé au josei qui vise la gente féminine, mais nous y reviendrons plus tard dans un post consacré aux genres du manga.


Revenons-en à Golden Sheep, voulez-vous ! Golden Sheep, dont le titre original en japonais est Kin no Hitsuji (金のひつじ) est réalisé par Kaori Ozaki connue pour Our Summer Holiday et Immortal Rain. En France, le manga est édité par Delcourt/Tonkam (Fruits Basket, Vagabond, Nana…) Le manga comte l’histoire de Tsugu Miikura, jeune lycéenne qui revient s’installer dans sa ville natale où elle y retrouve ses amis d’enfance avec lesquels elle avait enterré une capsule temporelle quelques années plus tôt. Une histoire d’amitié où les liens que l’on croit indestructibles peuvent se défaire au fil du temps.

Golden Sheep - © Kaori Ozaki

Un bon slice-of-life ( « tranche de vie » ) comme on les aimes avec une pointe de drame et de romance. Le manga critique légèrement la société japonaise, comme beaucoup d’autres, mais avec une protagoniste forte et attachante. Petit bonus, un one-shot est présent à la fin du tome 3, l’auteure étant une habituée des histoires courtes avec pour exemple Knife et Our Summer Holiday.


C’est donc un 7/10 pour moi. Le manga aurait pu être plus long, car il avait beaucoup de potentiel et il m’a laissée avec plusieurs interrogations, mais il laisse néanmoins au lecteur des pistes de réponses.


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